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Puissance
A une semaine de la #Présidentielle2022, on a posé cette question à François Hollande dans un nouvel épisode de #Mappemonde : la France est-elle encore une grande puissance ?
Retrait brutal des militaires au Mali, rupture du « contrat du siècle » par l’Australie, absence de vaccin français face au Covid... Les échecs français sur la scène internationale s’accumulent jusqu’à s’inviter dans la campagne présidentielle. Mais qu’en est-il vraiment de l’état de la puissance française ? Que reste-t-il de la « grandeur » de la France défendue par le Général de Gaulle ? Pour le savoir, il faut remonter le temps et revenir à un événement qui a tout changé.
🗳️ Retrouvez nos vidéos sur l'élection présidentielle 2022 ici :
https://www.youtube.com/playlist?list...
Sources :
La France dans le monde, sous la direction de Frederic Charillon, CNRS Editions, 2021
La France dans le bouleversement du monde, Michel Duclos, Editions de l’Observatoire, 2021
La France, une puissance contrariée, sous la direction de Bertrand Badie et Dominique Vidal, La Découverte, 2022
Le temps des guépards, Michel Goya, Tallandier, 2022
Rapport de l’IRSEM consacré aux OPEX, CRP Marie-Capucine Vauzanges, 2021 : https://www.irsem.fr/media/5-publicat...
PIB de la France en 1939, Angus Maddison : http://www.ggdc.net/maddison/oriindex...
Les bases américaines en France en 1966 : https://www.lemonde.fr/archives/artic...
Ambassades et consulats français à l’étranger : https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/le-...
Espaces maritimes français : https://limitesmaritimes.gouv.fr/ress...
Étude EY sur l’attractivité économique de la France : https://www.ey.com/fr_fr/attractivene...
« Le jour où Obama a laissé tomber Hollande », Le Monde : https://www.lemonde.fr%2Fpolitique%2Farticle%2F2016%2F08%2F24%2Fle-jour-ou-obama-a-laisse-tomber-hollande_4987167_823448.html
Retrait brutal des militaires au Mali, rupture du « contrat du siècle » par l’Australie, absence de vaccin français face au Covid... Les échecs français sur la scène internationale s’accumulent jusqu’à s’inviter dans la campagne présidentielle. Mais qu’en est-il vraiment de l’état de la puissance française ? Que reste-t-il de la « grandeur » de la France défendue par le Général de Gaulle ? Pour le savoir, il faut remonter le temps et revenir à un événement qui a tout changé.
🗳️ Retrouvez nos vidéos sur l'élection présidentielle 2022 ici :
https://www.youtube.com/playlist?list...
Sources :
La France dans le monde, sous la direction de Frederic Charillon, CNRS Editions, 2021
La France dans le bouleversement du monde, Michel Duclos, Editions de l’Observatoire, 2021
La France, une puissance contrariée, sous la direction de Bertrand Badie et Dominique Vidal, La Découverte, 2022
Le temps des guépards, Michel Goya, Tallandier, 2022
Rapport de l’IRSEM consacré aux OPEX, CRP Marie-Capucine Vauzanges, 2021 : https://www.irsem.fr/media/5-publicat...
PIB de la France en 1939, Angus Maddison : http://www.ggdc.net/maddison/oriindex...
Les bases américaines en France en 1966 : https://www.lemonde.fr/archives/artic...
Ambassades et consulats français à l’étranger : https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/le-...
Espaces maritimes français : https://limitesmaritimes.gouv.fr/ress...
Étude EY sur l’attractivité économique de la France : https://www.ey.com/fr_fr/attractivene...
« Le jour où Obama a laissé tomber Hollande », Le Monde : https://www.lemonde.fr%2Fpolitique%2Farticle%2F2016%2F08%2F24%2Fle-jour-ou-obama-a-laisse-tomber-hollande_4987167_823448.html
Le blé : un enjeu de food power. L’envers de l'économie du blé, une céréale très géopolitique. De l’Antiquité grecque au plan Marshall, le blé a toujours été un outil de puissance. Mais plus récemment, c’est la Russie de Vladimir Poutine qui a décidé de miser sur ce "food power" en développant son industrie céréalière. "Le dessous des cartes" vous fait découvrir l’envers de cette économie du blé, une céréale très géopolitique.
On connaissait le "hard power" – la puissance économique, militaire, démographique – et le "soft power" – la puissance symbolique, culturelle, informationnelle. Le "food power", soit le fait d’utiliser la production de denrées alimentaires comme une arme sur la scène internationale. Céréale parmi les plus consommées au monde, coté en bourse, le blé est devenu un enjeu de puissance.
Magazine (02/02/2022, 13mn)
On connaissait le "hard power" – la puissance économique, militaire, démographique – et le "soft power" – la puissance symbolique, culturelle, informationnelle. Le "food power", soit le fait d’utiliser la production de denrées alimentaires comme une arme sur la scène internationale. Céréale parmi les plus consommées au monde, coté en bourse, le blé est devenu un enjeu de puissance.
Magazine (02/02/2022, 13mn)
Émilie Aubry vous livre le dessous des cartes des universités du monde, devenues enjeux de "soft power". Lieux d’apprentissage, les universités ont aussi une autre vocation : affirmer la puissance des États et garantir leur rayonnement culturel. Depuis le "classement de Shanghai" et sur fond de compétition croissante entre monde occidental et monde asiatique, "la guerre des facs" s’intensifie, tandis que le nombre d’étudiants internationaux est en constante augmentation.
Si les pays anglo-saxons et l’Union européenne restent plébiscités, la Chine est entrée dans le jeu. Elle envoie ses étudiants à l’étranger, capte les jeunes diplômés du monde entier dans ses centres universitaires, noue des partenariats tous azimuts et implante toujours plus de campus et de centres Confucius, tout en prenant la main dans le domaine des publications scientifiques.
De leur côté, les Émirats et l’Arabie saoudite attirent de nouveaux étudiants venus du continent africain. Une mondialisation qui passe également par un phénomène d’"offshorisation" des grandes universités, comme la Sorbonne, désormais implantée à Abu Dhabi.
Si les pays anglo-saxons et l’Union européenne restent plébiscités, la Chine est entrée dans le jeu. Elle envoie ses étudiants à l’étranger, capte les jeunes diplômés du monde entier dans ses centres universitaires, noue des partenariats tous azimuts et implante toujours plus de campus et de centres Confucius, tout en prenant la main dans le domaine des publications scientifiques.
De leur côté, les Émirats et l’Arabie saoudite attirent de nouveaux étudiants venus du continent africain. Une mondialisation qui passe également par un phénomène d’"offshorisation" des grandes universités, comme la Sorbonne, désormais implantée à Abu Dhabi.
Carte réalisée pour le numéro 17 de la revue Conflits pour son dossier « L’indice de la puissance globale« .
Extraits de la méthodologie, ci-dessous :
Pourquoi 37 pays ?
Effectuer nos calculs sur tous les pays de la planète aurait été fastidieux et arbitraire. Fastidieux à cause du temps que cela aurait réclamé. Arbitraire parce que nous ne disposons pas de statistiques fiables sur beaucoup d’entre eux. Nous avons donc dû choisir. D’abord les pays du G20 qui se sont cooptés et se sont mutuellement reconnus comme « puissants ». Puis quelques pays qui en ont été écartés pour des raisons politiques comme l’Iran, Taïwan voire Israël. Des nations qui profitent de leur position géographique pour exercer une influence sur leur environnement (Ethiopie, Pakistan). D’autres dont le potentiel est considérable soit à cause de leurs richesses naturelles (Kazakhstan), soit à cause de leur population, soit à cause de leur forte croissance (Vietnam, Philippines)… Quelques pays européens qui ne font pas partie du G20 car ils sont censés être représentés par l’Union européenne (Pologne, Espagne, Suède). Nous avons ajouté quelques petits pays bénéficiant d’un rayonnement mondial (Qatar, Suisse) : bien nous en a pris quand on constate le résultat étonnant de la Suisse. La puissance n’est pas seulement affaire de taille.
Extraits de la méthodologie, ci-dessous :
Pourquoi 37 pays ?
Effectuer nos calculs sur tous les pays de la planète aurait été fastidieux et arbitraire. Fastidieux à cause du temps que cela aurait réclamé. Arbitraire parce que nous ne disposons pas de statistiques fiables sur beaucoup d’entre eux. Nous avons donc dû choisir. D’abord les pays du G20 qui se sont cooptés et se sont mutuellement reconnus comme « puissants ». Puis quelques pays qui en ont été écartés pour des raisons politiques comme l’Iran, Taïwan voire Israël. Des nations qui profitent de leur position géographique pour exercer une influence sur leur environnement (Ethiopie, Pakistan). D’autres dont le potentiel est considérable soit à cause de leurs richesses naturelles (Kazakhstan), soit à cause de leur population, soit à cause de leur forte croissance (Vietnam, Philippines)… Quelques pays européens qui ne font pas partie du G20 car ils sont censés être représentés par l’Union européenne (Pologne, Espagne, Suède). Nous avons ajouté quelques petits pays bénéficiant d’un rayonnement mondial (Qatar, Suisse) : bien nous en a pris quand on constate le résultat étonnant de la Suisse. La puissance n’est pas seulement affaire de taille.